Quand j'ai joué Zéro de conduite j'avais peur ma voix était enrouée.
A la deuxième page, je ne me rappelais plus d'une phrase. J'ai tourné en rond et Pauline m'a dit la phrase.
Je trouve que les moches de c.m.2 et c.m.1 ont bien joué et les cycles 2 aussi.
Les c.m.2 et les c.m.1 ont joué les Fourberies de Scapin.
Les c.e.2 ont joué Zéro de conduite.
Les cycles 2 ont joué des piécettes de Rodari Golade.

SALUT,

ANTONIN

En début d'année, on a appris des piécettes d'Ionesco. Un jour, comme j'ai dû partir, Marie-Pierre m'a remplacée ce n'était pas grave quand je suis revenue, on a rajouté un rôle pour moi. Puis, on a décidé de jouer Rhinocéros nous les grands, les beaux, les forts, (les c.m. 2). Mais, comme on n'arrivait pas à apprendre, on a eu une idée, à la rentrée de janvier. Le 24 et le 25 janvier on partait à Paris et on allait voir les Fourberies de Scapin. On a proposé à Patrice de les jouer et puis, comme on allait les voir et les filmer on s'entraînerait bien.

Au début quand on répétait, c'était long, à toutes les tirades on s'arrêtait puis, petit à petit, on arrêtait un peu moins, puis après beaucoup moins, et à la fin pratiquement jamais.
Le 17 juin , Julie a joué à ma place parce que je n'étais pas là.
SOPHIE

Départ à la salle de la Rotonde

Avant de monter sur scène, une petite concentration pour décompresser. Dans les coulisses, bien avant que j'entre en scène, mon texte défilait dans ma tête de peur que je l'oublie !

Sur scène, dès que j'avais terminé ma première tirade, je ne pensais à rien du tout, sauf à mon personnage: Scapin le fourbe et à mon texte qui défilait dans ma tête au fur et à mesure.

Quand la pièce s'est terminée, j'étais fière de moi et des autres. Arrivée chez moi, j'étais triste à l'idée que c'était la dernière fois que l'on jouait :


Scapin (Joséphine)

Avant d'entrer sur scène , j'avais un peu le trac.

Mon trac était d'oublier mon texte ou d'inverser des mots.

Donc je me suis dit : du calme , on respire , tout va bien , et tout s'est bien passé!
J'étais content de moi et des autres acteurs.
Et on a même eu droit a des félicitations et ça me faisait plaisir et pour les autres aussi je pense.
Mais il y a eu un problème dans la scène du sac Kevin était sensé me tapersur les pieds et à la place il m'a tapé sur la tête et certaines personnes m,ont entendu dire : AÏE ! ! !
Mais à part ça, tout s'est bien pensé!

David (Geronte)

Je suis arrivée à l'école, j'ai eu peur et en même temps, j'étais contente.

Quand j'ai commencé ma tirade, la première de la pièce, j'ai eu peur de manquer une phrase ou un mot .

Dans la scène 2 de l'acte premier, Kevin-Scapin m'a embrouillée. A un autre moment, j'avais envie de lui mettre une grosse claque car il m'embrouillait. Pour une fois, je me suis retenue.

A la dernière scène de l'acte 3, je ne savais pas trop quoi faire mais j'ai trouvé des gestes, j'ai simulé la peur, l'horreur, le malheur. A la fin, quand tout le monde est sorti, on a été beaucoup félicité , je me suis dit qu'on était les meilleurs

Octave Johana

petite relaxation

Samedi matin, 17 juin 2000, nous sommes arrivés et Robert le papa de Victor nous a fait une petite relaxation pour nous aider à nous concentrer.
Ensuite, nous sommes allés à la Rotonde pour jouer.
Quand j'allais entrer sur scène, mon cœur battait très très fort et j'avais le trac, j'avais chaud.
Une fois sur scène, je tremblais et quand je regardais le public, je riais.
Après, je ne m'occupais plus du public, j'étais concentré et je jouais.

Argante - Mathias

Sentiments théâtraux
théâtre trop de sentiments

Au début, j'avais hâte de jouer notre pièce les Fourberies de Scapin.
Quand mon tour est venu, j'ai eu peur de bafouiller, d'avoir un trou de mémoire ou de me mettre à rire pendant les résumés que je devais faire. J'avais le ventre crispé.
Sur le chemin en rentrant à l'école, on nous a félicités. Au début cela faisait plaisir, mais à la fin ça devenait énervant.
Voilà ! Tout s'est bien passé.

Zerbinette- Julie

j'ai tremblé, de toutes petites larmes me coulaient sur le visage

mal au ventre, quand il y a eu la scène avant la mienne,j'ai eu le trac, j'ai tremblé, de toutes petites larmes me coulaient sur le visage. mes pieds bougeaient de droite à gauche.
J'ai serré le plus fort possible ma chemise et hop!
Je suis allé sur scène.

Peur d'oublier les mots car mon texte ne passait plus dans ma tête.
Mon entrée sur scène: peur de ne pas entrer au bon moment car ma mère et ma grand-mère étaient là.
Peur de rire car le clown de Victor était derrière moi.
Les gens me disaient: oh! C'est bien!
Je n'écoutais même pas car j'étais sur scène.
Mais tout s'est bien passé pour moi!

Marie-Pierre (Nerine)

même mon frère qui ne m'aime pas m'a félicité

Je trouve que nous avons super bien joué et je ne suis pas le seul à le penser, le public aussi. Je n'avais pas le trac . Pendant les répétitions, à l'école, quand je ne savais pas mon texte, je pleurais, puis je revenais. Sur la scène, je savais bien mon texte, enfin presque. A la fin du théâtre, mes parents m'ont dit toute la journée, tu as super bien joué (même mon frère qui ne m'aime pas m'a félicité).

Le coeur, surtout le coeur, il battait plus vite que la musique.

Pour moi le trac c'est d'avoir froid, la peur, la transpiration.Le coeur, surtout le coeur, il battait plus vite que la musique.

Bob, le père de Victor est arrivé.
Je lui ai dit: J'ai le trac.
Il m'a dit:.
Allonge-toi.
J'ai pris un tapis.
Bob m'a fait souffler tranquillement.
On est partis à la Rotonde.
Il y a eu les petites piécettes, puis, les Fourberies de Scapin.

Acte 2, scène 4 :
J'y vais cool, ça y est.

J'ai terminé.
Tout le monde applaudit.
J'espère que l'acte 3 va être pareil.

Julien

écrit et réalisé du 19 au 24 juin 2000
- cycle 2 et 3-